Je parlerais
Zeng Xiaojun
mais le trop qui m'étreint retient les mots dans ses filets
ils rouillent
Je danserais
ma vie si les fils tordus de mes futiles soucis cessaient de m'envoyer les pieds dans le tapis
meurtrie
J'aimerais
savoir les mots éclaboussant de joie nos heures de guingois
J'ai froid
Partager cet article
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
Y
C
L
C
A
C
E
C
A
C
A
C
D
C